France Inter a publié récemment 4 courtes interviews de Jeremy Rifkin, venu expliquer sa théorie de la Troisième Révolution Industrielle.
1er podcast : Analyse de la récession de l’économie mondiale qu’il impute au déclin de la deuxième révolution industrielle et au prix de plus en plus élevé de l’énergie fossile.
2ème podcast : Il explique le concept de troisième révolution industrielle : j’avoue que je ne trouve pas ça très clair.
Il préconise un système distributif et collaboratif pour un changement de modèle économique qui repose sur 5 piliers :
- passer à 20% d’énergie renouvelable
- convertir tout bâtiment en Europe pour produire de l’énergie verte(solaire, eolien, géothermique, etc)
- stocker l’énergie
- Créer un « Internet de l’énergie » (réseau) : utiliser et partager l’énergie produite par les batiments
- Mettre cette énergie à la disposition des véhicules
> si vous comprenez bien la teneur de ces 5 points, n’hésitez pas à vous exprimer en commentaire car c’est un peu flou pour moi !
3ème podcast : La transition énergétique dans le Nord-Pas-de-Calais
4ème podcast : Les gaz et pétroles de schiste, relancent l’économie américaine à court terme.
En résumé, cette intervention me semble intéressante mais il y a quelques points à éclaircir, la traduction simultanée n’aidant pas forcément à comprendre les subtilités de ses arguments. Une émission un poil plus longue aurait peut-être permis d’approfondir certains points.
Bonjour
Rifkin est un loup dans la bergerie, en surfant sur du vocabulaire « participatif », « sobriété » et « transition », ce type très doué vend des solutions plus dangereuses que nos soucis actuels. Dans le nord, il faisait le démonstrateur (ah, le jeu d’épaules du super communiquant…) au parlement régional pour le compteur linky, matériel hautement décrié tant au niveau de la santé que du pilotage de ta vie suivant les productions électriques, de la rentabilité, de l’efficience et du branchement sur la grande machine. Pour plus de détails, allez feuilletez le site internet de Pièces & Main d’oeuvre qui cause très bien de ceci ou encore « et vous n’avez encore rien vu…).