Ce guide datant de 1845 donne de précieux conseils de culture pour les jardiniers et maraîchers, notamment sur la façon d’avoir un rendement très élevé sur une petite surface.
Les maraîchers du 19ème siècles nourrissaient Paris en faisant jusqu’à 8 rotations par an ! Les tonnes de fumiers disponibles dans la ville grâce à l’omniprésence des chevaux permettaient la création de couches chaudes et bien sur une fertilisation « poussée ».
Ce manuel est cité par de nombreux acteurs comme Eliot Coleman, John Jeavons, Alan Chadwick, Jean-Martin Fortier ou la ferme du Bec Helloin.
Dans une utilisation actuelle on gagnerait certainement à diminuer la part d’intrants (fumier) pour diminuer la pollution qui en découle, mais ce manuel reste une mine d’infos, à lire !
Apprendre à différencier le fumier (avec urine donc ammoniaque) du crottin pur qui lui peut s’utiliser directement voir photos sur site bientôt ! : anthropopedagogie.com
J’affiche un appel à projets concernant cheval et environnement mais aussi valorisation du patrimoine, Université de Pau ; à partager